Dialogue entre un quiétiste et un chrétien flic
(Partie 2/5)
Des chercheurs contemporains courageux, comme Marion Sigaut, dévoilent avec succès l’imposture de ce grand philosophe français, sauf que, malheureusement, il n’est pas le seul à souffrir de ce genre de symptômes :
Martin Luther (Fondateur du protestantisme ; dans Les juifs et leurs mensonges (Von den Juden und ihren lügen) et les dernières paroles de David)
Parlant des juifs :
- « C’est un peuple abominable, qui ruine tous les autres par l’usure … il n’y a rien à tirer de ces malheureux, qui ne veulent pas écouter la parole divine et se contentent de leurs propres idées.
- « Si un juif vient me demander le baptême, je le lui donnerai ; mais je le mènerai aussitôt sur le pont de l’Elbe, lui accrocherai une meule de moulin au cou et le jetterai à l’eau.
- « Qu’on brûle leurs synagogues et leurs écoles ! ce qui ne veut pas brûler, qu’on le couvre de terre ! Qu’on l’ensevelisse d’une telle façon que jamais plus personne n’en trouve pierre sur pierre ni un déchet ! Qu’on enfonce et démolisse leurs maisons ! Qu’on leur enlève tous leurs livres de prière et leurs talmuds ! Qu’on interdisse à leur rabbins sous peine de mort, de prodiguer leur enseignement ! qu’on refuse aux juifs tout droit d’escorte et de protection publique ! qu’on leur défende de faire du commerce ! Qu’on leur prenne leurs économies, leurs bijoux, leur or et leur argent ! … et si ce n’est pas suffisant, qu’on les chasse de toutes parts comme des chiens enragés ! »
Ceci a été écrit et lu en Allemagne, en 1542.
David Hume (1711-1776), économiste anglais influent écrivit à son époque (dans Sur les caractères nationaux, Vol III) :
« Je suspecte les Nègres et en général les autres espèces humaines d’être naturellement inférieurs à la race blanche. Il n’y a jamais eu de nation civilisée d’une autre couleur que la couleur blanche, ni d’individu illustre par ses actions ou par sa capacité de réflexion... Il n’y a chez eux ni engins manufacturés, ni art, ni science. Sans faire mention de nos colonies, il y a des Nègres esclaves dispersés à travers l’Europe, on n’a jamais découvert chez eux le moindre signe d’intelligence. »
Emmanuel Kant (1724-1804), d'ajouter (dans "Essai sur les maladies de la tête, Observation sur le sentiment du beau et du sublime, éd. Flammarion, 1990") :
« La nature n’a doté le nègre d’Afrique d’aucun sentiment qui ne s’élève au-dessus de la niaiserie (...) Les Noirs (...) sont si bavards qu'il faut les séparer et les disperser à coups de bâton. »
Le zoologiste, G. Cuvier d'écrire à son tour (dans Recherches sur les ossements fossiles, Volume 1, Paris, Deterville, 1812) :
« La race nègre est confinée au midi de l'Atlas, son teint est noir, ses cheveux crépus, son crâne comprimé et son nez écrasé ; son museau saillant et ses grosses lèvres la rapprochent manifestement des singes : les peuplades qui la composent sont toujours restées barbares (...) la plus dégradée des races humaines, dont les formes s'approchent le plus de la brute, et dont l'intelligence ne s'est élevée nulle part au point d'arriver à un gouvernement régulier. »
Puis Montesquieu (dans L'esprit des Lois) en 1748 :
« On ne peut se mettre dans l'idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. (...) Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens. »
Puis sous la plume de Hegel (dans La raison dans l'histoire, Paris, Plon, 1965) :
« Les Africains, en revanche, ne sont pas encore parvenus à cette reconnaissance de l'universel. Leur nature est le repliement en soi. Ce que nous appelons religion, état, réalité existant en soi et pour soi, valable absolument, tout cela n'existe pas encore pour eux. Les abondantes relations des missionnaires mettent ce fait hors de doute (...) Ce qui caractérise en effet les nègres, c'est précisément que leur conscience n'est pas parvenue à la contemplation d'une objectivité solide, comme par exemple Dieu, la loi, à laquelle puisse adhérer la volonté de l'homme, et par laquelle il puisse parvenir à l'intuition de sa propre essence » Et de continuer en disant que l'Afrique est : « un monde anhistorique non développé, entièrement prisonnier de l'esprit naturel et dont la place se trouve encore au seuil de l'histoire de l'universel. »
Hegel signe et persiste : « Le nègre représente l’homme naturel dans toute sa barbarie et son absence de discipline. Pour le comprendre, nous devons abandonner toutes nos façons de voir européennes. Nous ne devons penser ni à un Dieu personnel ni à une loi morale ; nous devons faire abstraction de tout esprit de respect et de moralité, de tout ce qui s’appelle sentiment, si nous voulons saisir sa nature… on ne peut rien trouver dans son caractère qui s’accorde à l’humain. »[1]
Alexis de Tocqueville (Abolitionniste !), Œuvres complètes, tome III, Paris, 1962, P. 105
« Quelque respectable que soit la position des Noirs, quelque sainte que doive être à nos yeux leur infortune, qui est notre ouvrage, il serait injuste et imprudent de ne se préoccuper que d’eux seuls. Si les Nègres ont droit à devenir libres, il est incontestable que les colons ont droit à n’être pas ruinés par la liberté des Nègres. »
Puis, on continue avec Ernest Renan (dans le Discours sur la nation) :
« La nature a fait une race d'ouvrier, c'est la race chinoise (...) une race de travailleur de la terre, c'est le nègre (...) une race de maîtres et de soldats, c'est la race européenne. »
Théodore Roosevelt (1858-1919, Président des USA, lettre du 3/1/1913)
« Je souhaiterais beaucoup que l’on empêchât entièrement les gens de catégorie inférieure de se reproduire, et quand la nature malfaisante de ces gens est suffisamment manifeste, des mesures devraient être prises en ce sens. Les criminels devraient être stérilisés et il devrait être interdit aux personnes faibles d’esprit de laisser des rejetons après elles… »
Un paternalisme éhonté doublé d’une xénophobie schizophrénique
Une xénophobie alimentée par la peur que renvoie l’autre, dans le rôle ingrat et coupable du « dominé », toujours dans la perspective affolante d’une prochaine invasion de l’Europe. La France des Lumières qui exporte généreusement son universalisme qu’elle troque au rabais contre les richesses nourrissant les terres de ses (anciennes) colonies apeurées ; celle-ci les console en leur expatriant son catholicisme déchu qu’elle ne veut plus sur son sol. La chrétienté à bout de souffle est telle des médicaments périmés ou « non conformes » qu’on refourgue à l’Afrique qui le paie en nature ! On projette sur l’autre ses propres tares, comme pour laver sa conscience bien trop sale, au gré d’une thérapie qui fermente tellement qu’elle tourne mal !
« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. »
(Alfred de Vigny / 1797 – 1863)
« Cette prétention de défendre l'Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m'exaspère. Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise la Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme. »[2]
(Gustave Flaubert / 1821 – 1880)
« L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle ; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, c’est la religion excluant l’État. »
« Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe ; l’Islam est le fanatisme. »
(Joseph Ernest Renan / 1823 – 1892)
Voici ce que ce dernier pensait du sceau des messagers : « En somme, Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, exempt de haine. Ses affections étaient sincères ; son caractère, en général, porté vers la bienveillance. Lorsqu'on lui serrait la main en l'abordant, il répondait cordialement à cette étreinte, et jamais il ne retirait la main en premier. Il saluait les petits enfants et montrait une grande tendresse de cœur pour les femmes et les faibles. "Le Paradis, disait-il, est au pied des mères". Ni les pensées d'ambitions, ni l'exaltation religieuse, n'avaient desséché en lui le germe des sentiments individuels. On le voyait traire lui-même ses brebis, et il s'asseyait à terre pour raccommoder ses vêtements et chaussures… Rien de moins ressemblant à cet ambitieux machiavélique et sans cœur qui explique en inflexibles alexandrins ses projets à Zopyre. »[3]
Lettre du Père Charles de Foucauld adressée à René Bazin, de L’Académie française, président de la Corporation des publicistes Chrétiens, parue dans le Bulletin du Bureau catholique de Presse, n° 5, octobre 1917 :
« Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu'elle a avec les Français (représentants de l'autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d’elle. Le sentiment national ou barbaresque s'exaltera dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l'islam comme d'un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant.
L'empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ?
Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non.
Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du « Mehdi », il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l'approche du jugement dernier le Mehdi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve; " l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération ", disent-ils.
Ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles.
Mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France.
De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ?
Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du Mehdi... »
Charles de FOUCAULD
« L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »
(Winston Churchill / 1874 – 1965)
« C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis «musulmane» je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet.
Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! Les « misérables » ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. »
André Malraux, 3 juin 1956.
Ces appréhensions naissent du constat sans appel, qui fut déjà annoncé par Le Bon, que l’islam est amené à l’avenir à jouer les premiers rôles dans l’échiquier de la politique planétaire, et à retrouver ses lettres de Noblesse ; sans parler de la relation ambivalente qui lie à jamais la France à ses anciennes colonies de l’Afrique septentrionale.
La haine de l’autre n’est pas nouvelle, que les jours se ressemble !
Au début du 12ème siècle, commence à se répandre en Occident des poèmes et chroniques portant sur la ‘’biographie’’ de Mahomet. Les attaques portent plus sur le ‘’personnage Mahomet’’ que sur les musulmans eux-mêmes, et s’attardent sur les points suivants : les portraits soulignent la déficience physique et mentale d’un homme victime de crises épileptiques ; ils critiquent la licence de sa vie privée que l’idéal coranique d’un paradis rempli de jouissances charnelles confirmerait ; la vision prophétique est contestée au profit de celle d’un chamelier ignorant devenu jouet de juifs et de chrétiens hérétiques, nestoriens, jacobites, ou ariens (…)
Deux siècles plus tôt, les motifs des églises romaines associent le thème de l’Apocalypse au combat des forces du Bien contre les forces du Mal représentées par l’Islam (…) Philippe Sénac a étudié les représentations iconographiques de l’Islam en Occident et en tire plusieurs conclusions : le Sarrasin est toujours un guerrier : l’Islam est associé à la violence ; il est toujours laid et hirsute ; l’Islam est aussi associé à l’œuvre du diable.[4] « L’esthétique nous apprend-t-il, se mêle ici à l’affaire : à Angoulême, il se tord de douleur ; à Oloran il grimace ; à Estella, il s’enlaidit davantage : ses traits sont grossiers, ses cheveux hirsutes, ses lèvres épaisses ; à Clermont-Ferrand, comme à Chartres, sur le vitrail de la cathédrale où resplendit l’admirable légende de Charlemagne, les combattants sarrasins ont le nez aquilin, l’œil obscure des rapaces en quelque sorte. L’Islam synonyme de laideur. »[5]
Force est de constater qu’avec les caricatures version 2005, l’Histoire se répète à la différence qu’à l’époque, sous la domination de l’Église, la liberté d’expression et la laïcité ne faisait pas dès lors partie du décor européen.
Des siècles plus tard, Bonaparte écrit avant la Révolution un conte, Le masque du Prophète racontant : « l’histoire authentique d’un homme qui, poussé par un désir de gloire s’est fait passer pour un envoyé de Dieu en utilisant différentes formes d’imposture. »[6]
Le comble du paradoxe, c’est que sous l’étoffe d’un prophète, Napoléon a usé dans sa quête de la gloire, des pires impostures ! Il alla jusqu’à feinté une conversion à l’islam dans le but avouée de gagner l’assentiment des autochtones égyptiens. Pourtant après sa débâcle, Il est exilé comme un imposteur sur une île rocheuse désolé et battue par les vents au sud de l’océan atlantique où il passe les six dernières années de sa vie. L’empereur doit même y subir des brimades du gouverneur de l’île, Hudson Lowe, effrayé à l’idée d’une possible évasion.
Le 15 mai 1821, il meurt des suites d’un douloureux cancer de l’estomac – qui le pousse depuis longtemps à porter sa main sur son ventre pour soulager sa douleur.[7] En revanche, Mohammed (r), le Prophète de la vérité est mort dans la gloire sans ne l’avoir jamais cherché ni n’avoir usé d’aucune ruse. Nous cultivons l’espoir que dans son tragique destin, Bonaparte serve d’exemple à ceux qui s’aventurent à se moquer de l’Ami de Dieu !
Par : Karim Zentici
[1] Georg W. F. Hegel : La raison dans l’histoire. Introduction à la philosophie de l’histoire, Paris, Éd.10/18, 1965, p. 234 et 251.
[2] Gustave Flaubert / 1821-1880 / Lettre à Madame Roger des Genettes / 12 janvier 1878.
[3] Ernest Renan, Études d'histoire religieuse, éd. Michel Lévy frères, 1858, p. 248
[4] Voir Géopolitique constantes et changement dans l’histoire AYMERIC CHAUPRADE p. 452, 453.
[5] P. SENAC, L’image de l’Autre, Histoire de l’Occident médiéval face à l’Islam, Paris Flammarion, 1983, p. 71.
[6] Voir Géopolitique constantes et changement dans l’histoire AYMERIC CHAUPRADE p. 482. Pour sa défense, à Sainte-Hélène, là où les calculs laissent enfin la place aux confessions, au testament, Napoléon relativise ses propos ; Sur ce caillou au milieu de l’Atlantique, il n’avait alors plus aucun intérêt à dévoiler ses préférences pour la religion musulmane. Est-ce au contact des « maures » lors de sa campagne d’Égypte qui lui aurait fait revoir ses jugements négatifs à la baisse ? Mystère et boule de gomme ! Voir : http://www.afrik.com/article26856.html
[7] Voir : Encarta