Le secret des pyramides ou l’origine de la franc-maçonnerie II/1

Au sujet des mystérieux conspirateurs Jacobins : « Les brigands, disait-on, arrivent, ils pillent les demeures, incendient les récoltes, égorgent les femmes et les enfants... »
« Le roi est captif au Temple et l'élite du clergé français en exil ou à l'Abbaye. Le canon tonnait sur le Pont-Neuf et des écriteaux menaçants proclamaient la Patrie en danger. Alors des hommes inconnus organisèrent le massacre. Un personnage hideux, gigantesque, à longue barbe, était partout où il y avait des prêtres à égorger.
« Tiens, leur disait-il avec un ricanement sauvage, voilà pour les Albigeois et les Vaudois ! « VOILA POUR LES TEMPLIERS. Voilà pour la Saint-Barthélemy. Voilà pour les proscrits des Cévennes ! »
Et il frappait avec rage, et il frappait avec le sabre, avec le couperet, avec la massue. Les armes se brisaient et se renouvelaient dans ses mains ; il était rouge de sang de la tête aux pieds, sa barbe en était toute collée, et il jurait avec des blasphèmes épouvantables qu'il ne la laverait qu'avec du sang. »
Voir : http://mizab.over-blog.com/2019/01/le-secret-des-pyramides-ou-l-origine-de-la-franc-maconnerie.html
Le double secret des Templiers : une lignée qui remonterait à David et un grimoire imputé à son fils, Salomon
La première croisade, menée par Godefroy de Bouillon, fut d’une cruauté indescriptible. Jérusalem offrait des scènes apocalyptiques d’horreur. Godefroi de Bouillon se revendiquera de la lignée de David et créera une société secrète du nom de L’Ordre de Sion. La dissolution de l’Ordre des Templiers estampillé d’une bulle papale, stipulait la confiscation de tout leurs biens, et la mise à mort par bûcher de leur dernier grand maître Jacques de Molay en plein cœur de Paris sur l’île aux Juifs (ou île des Juifs), qui sera rebaptisé par la suite l’île des Templiers, étonnant non ?
Lorsque la tête de Louis XVI roula dans le panier qui bordait la sanglante guillotine, un cri aux relents rituels sorti de la foule : « Jacques de Molay, tu es vengé ! »
Sir Lain Moncreiffe se réfère aux travaux du professeur Arthur Zuckerman de l’Université de Columbia qui écrivit sur l’identité juive de Théodoric, duc de Toulouse, dans son livre Une principauté juive dans la France féodale. Il y explique comment les Juifs de Narbonne furent récompensé pour l’aide qu’ils prêtèrent, au 8ième siècle, au roi Pépin (fils de Charles Martel) qui leur concéda en Septimanie une principauté juive acquise à la suzeraineté carolingienne.
« Charles Martel avait vaincu les armées musulmanes en 732, et elles se retirèrent à Narbonne. Ce fut le début d’un état de siège de sept ans. Afin d’obtenir l’allégeance de la population juive de Narbonne, Charles alla chercher en Irak un fils d’Exilarque Babylonien afin qu’il vienne et mène les Juifs de France. Cela put être réalisé à l’instigation de sa femme d’ascendance juive Rutrud (Ruth), issue de la célèbre famille mérovingienne Leviti. »
« Des généalogistes comme le professeur David Kelley et Sir Lain Moncreiffe confirment le récit des origines davidiques de Théodoric (Aimeri) de Narbonne et de ses descendants.
Les Juifs de Babylone avaient toujours été administrés depuis l’époque de leur captivité au 6ème siècle avant JC, par leurs propres Exilarques ou « Princes en captivité ». Les Juifs de Narbonne en Septimanie aidèrent les Francs à capturer la ville qui étaient aux mains des califes Omeyyades d’Espagne. En retour, le roi des Francs obtint de l’ennemi traditionnel Omeyyade, le calife abbasside à Bagdad, l’envoi du seigneur des Exilarques de Babylonie, prince de la Maison Royale de David.
Ce prince était destiné à être le « roi juif » local à Narbonne. Gershom ben Judah et son frère cadet Makir (Théodoric IV) arrivèrent à Narbonne en 739. Charles Martel fit de Makir le comte de Narbonne (et comte d’Autun) et de son frère, Gershom, le comte de Vienne (Girart de Vienne qui à la suite de son mariage avec Imma devient le souverain de l’Allemagne). Makir et Gershom étaient de grands érudits de la Torah. Et Gershom était un particulièrement brillant talmudiste et halakhiste.
De Charles Martel et son épouse Rotrude, Ruth d’ascendance juive, naîtront :
- Carloman, maire du palais d’Austrasie avant de se retirer au monastère du Mont-Cassin ;
- Pépin le Bref, maire des palais de Bourgogne, de Neustrie et d’Austrasie, roi des Francs et futur père de Charlemagne ;
- Hiltrude mariée à Odilon, duc de Bavière ;
- Alda (Aude/Olba/Alba/Aldana) mariée à Makir devenu Théodoric, comte d’Autun.
Makir (Théodoric) en épousant Alda/Aude devient le beau-frère de Pépin Le Bref et l’oncle du futur Charlemagne. De l’union de Makir et Alda/Aude naîtront quatre fils : Menachem (Hernaut de Gironde), Nehemiah ha Makiri (Aymer le Chétif), Yakar (Gui Alberic de Narbonne), Nathan Kalonymus (Guillaume de Gellone) qui inspira plus tard le personnage de Guillaume d’Orange dans les chansons françaises et fut surnommé « Nez Crochu ».
Il parlait couramment l’arabe et l’hébreu. L’étude des armoiries nous indique que son bouclier portait la même armoirie que celle des Exilarques Orientaux, le Lion de Juda, à noter que le golfe qui borde la Septimanie de nos jours encore s’appelle « le golfe du Lion » Guillaume observait le chabbat et Souccot même au cours de ses campagnes.
Pepin installa donc Makir, le fils de l’Exilarque Babylonien comme roi juif de Narbonne. Dans les Chansons françaises, il était appelé Aimeri, mais était connu parmi la noblesse en tant que Théodoric ou Thierry, duc de Toulouse.
« Zuckerman déclare : « Le chroniqueur qui écrivit le rapport initial de l’état de siège et de la chute de Barcelone enregistra les événements selon le calendrier juif … le Commandant de l’expédition, le duc Guillaume de Narbonne et de Toulouse mena l’action dans le strict respect des shabbats juifs et des jours saints. Pour tout cela, il jouissait de la pleine compréhension du roi Louis ». Guillaume de Gellone créa en 792 une Yeshiva [Collège rabbinique] à Gellone (appelé plus tard Saint-Gilles) rassemblant des érudits de la Torah et créant ainsi une bibliothèque juive. En 806, Guillaume se retira dans cette Yeshiva pour finir sa vie (814). Plus tard les historiens essayèrent de cacher la judéité de cette dynastie et de supprimer de tous les récits et rapports la réalité de ce royaume juif d’Europe, mais l’érudition moderne est maintenant en mesure de mettre en évidence une grande partie de cette histoire cachée. »
« En effet, on nous dit que ce Guillaume de Gellone, aristocrate de l’époque carolingienne et personnalité militaire du Royaume d’Aquitaine et comte de Toulouse est le fondateur de l’abbaye de Gellone en 804. Or, on nous dit aussi que cette abbaye s’inscrit dans le contexte de la conquête franque de l’Occitanie : Pépin le Bref puis Charlemagne s’efforcèrent de mettre en place une nouvelle structure administrative tandis qu’un certain Benoit d’Aniane et Guillaume de Gellone se chargèrent de la reprise en main religieuse. Une abbaye qui s’avère en fait être une Yeshiva.
En tout état de cause, il sera canonisé en 1066 en tant que saint Guilhem. »
Mais ce n’est pas tout :
« La soeur de Makir connue sous le nom de Berthe aux grands pieds épousa le fils de Charles Martel, Pépin le Bref et devint la mère de Charlemagne. Berthe, Bertha (également appelé Bertrade) donna naissance à Charlemagne en 742. La mère de Bertha (donc juive aussi) était appelée « fleur blanche » (Blanche Fleur) ou Lys, qui est à l’origine du nom de la « Maison du Lys » pour les rois de France. Lys est aussi un titre familier de la Maison de David et du futur Messie à venir comme étant le « lys de la vallée ».
« D’un autre côté, Charlemagne était appelé « David » par ses partisans. Quand Charlemagne devint roi en 768 à la mort de son père, il proclama Makir, l’Exilarque Occidental, roi de Septimanie. Makir était son oncle maternel, le frère de sa mère. »
Le père de Guillaume de Gellone cousin de Charlemagne était donc le Rabbin Makir ; une lignée qui pratiquaient tous la polygamie, issu des Exilarques qui régnèrent sur les Juifs à Bagdad l’ancienne Babylone. En France, il prit le nom de Théodoric, épousa Alda, la tante de Charlemagne, et fut déclaré « Roi des Juifs » dans la région du Languedoc, dans sa capitale la ville de Narbonne, fait important à ajouter, Godefroi de Bouillon est reconnu être un descendant de l’Empereur Charlemagne/David de par son père et de par sa mère !
On peut donc penser que la première croisade ait été une tentative pour rétablir un prétendu héritier de la lignée du Roi David sur le trône de Jérusalem en la personne de Godefroi de Bouillon (également connu sous le nom de Godefroi de Lorraine), qui était selon la légende de la lignée mérovingienne, il refusa le trône par humilité envers Jésus, selon ses dires, alors il y plaça son frère Baudoin afin de protéger les intérêts de la lignée.
Narbonne devint ensuite le cœur de la Kabbale Médiévale. Les Kabbalistes de Narbonne semblent porter la responsabilité des croisades, dans le but de récupérer des textes sacrés enterrés dans le Temple de Salomon, mais qui étaient inaccessibles à cause des Romains, et des Musulmans qui les ont précédés. Une fois que Jérusalem fut conquise, un ordre Kabbalistique de chevaliers connu sous le nom de Templiers mena des excavations, et découvrit le texte du Sefer HaBahir, qui raviva la tradition mystique perdue, et lança la révolution culturelle de la Kabbale Médiévale.
Sous couvert d’activité religieuse chrétienne, ils ont caché leur culte sataniste, le culte de la Goétie.[1] De retour des croisades ils avaient mis la main sur les plus terribles livre de magie et des grimoires remontant à Babylone et au Temple de Salomon qu’ils pillèrent. Dès leur retour en Europe, ils allaient dominer le monde depuis l’Angleterre, terre d’asile des derniers Templiers, le pacte qu’ils firent avec des forces occultes leur apporta pouvoir et fortune.
De Nemrod aux Mérovingiens
L’autre dynastie toujours à la pseudo-divine lignée trouve l’origine de son nom dans Mérovée qui d’après la légende naquit de deux pères : le roi Clodion et une créature « La bête de Neptune ». Mérovée hérita de nombreux pouvoirs magiques et surnaturels qu’il transmit ensuite à ses descendants. C’est ainsi que les Mérovingiens se croyaient investis de pouvoirs surnaturels. Les rois Mérovingiens sont aussi appelés « Les Rois aux cheveux longs » leur chevelure était symbole de pouvoir magique, ils ne sont pas les descendants de la Tribu de David mais de celle de Dan, originaire de Samarie (comme le Samaritain du Coran), la Tribu parmi les dix disparues dont fut issu Samson leur ancêtre aux cheveux longs dont il tirait sa force surhumaine.[2]
Dans le film Matrix, on y entend dire que le mérovingien est le gardien des clefs ; il garde le secret de la lignée qui remonterait à l’Égypte et à Babylone. Par la suite, lorsque les pharaons quittèrent l’Égypte pour se réfugier en Europe, nous retrouvons leur trace dans l’histoire liée aux Francs.
Mérovée naquit donc et fut investi de grands pouvoirs d’où une aura de magie et de surnaturel, fréquente chez les Rois Mérovingiens. Ainsi, d’après d’autres légendes, les Rois Mérovingiens soignaient par simple imposition des mains, ou grâce aux glands magiques pendants aux franges de leurs robes en plus de leur don de clairvoyance, de communication extra-sensorielle avec les animaux et la nature, des colliers magiques qui ornaient leur cou, et enfin d’une formule secrète les protégeant et leur garantissant la longévité.
Leur marque de naissance distinctive est une croix rouge sur le cœur (comme le signe de la croix des Templiers) ou entre les deux omoplates [ce n’était pas une marque de naissance, pour tracer la lignée, les nouveaux nés étaient marqués d’une croix rouge sur le cœur ou sur le dos, symbole que l’on retrouvera plus tard chez les Templiers et souvent associé à la marque de Caïn symbolisée par une croix rouge entourée par un cercle.]
On les appelle les Rois aux Cheveux Longs, car ceux-ci étaient le siège de leur vertu, tout leur pouvoir magique était contenu dans leur épaisse chevelure. Ils sont considérés comme des prêtres-rois, la personnification du divin (comme pour les Pharaons). D’ailleurs, on a découvert sur des crânes de monarques mérovingiens une incision permettant à l’âme de quitter le corps pour entrer en contact avec le monde divin (comme chez les Bouddhistes).
Ce mythe fut créé pour transmettre une connaissance essentiel, pour permettre de révéler les origines antiques de la dynastie mérovingienne, qui vont effectivement revenir à l’ancienne Babylone, comme le monstre marin décrit dans la légende, dont elle est une ancienne représentation de Nemrod, celui qui construit la tour de Babel et gouverna Babylone.
Il existe en effet, différentes représentations de Nemrod, de lui avec une coiffe illustrant l’apparence d’un poisson ; ce même coiffe a ensuite été adopté par les papes de l’Église catholique romaine, jusqu’à nos jours.
Plus tard, Godefroy de Bouillon, Duc de Basse-Lorraine, aussi un descendant de la lignée mérovingienne par les grands-parents de Long Nez Hugues et Agnès Bella (Hugues long Nez était l’arrière petit-fils de Sigebert VI duc de Razès), en 1099 A.C., après la capture de Jérusalem, il a fondé l’Ordre des Chevaliers de Notre-Dame de Sion (rebaptisé Prieuré de Sion). Le nom est dérivé de l’abbaye décrépit, plus tard rénovée et fortifiée, a trouvé (sic) dans la Terre Sainte et dédiée à Notre-Dame de Sion. La connaissance mystique, ésotérique et certains composants de la symbologie font toujours partie de l’héritage de l’Ordre, comme l’Abeille Mérovingienne, le Lion de Juda et le Fleur de Lys.[3]
La symbologie du Lion et de l’Abeille Mérovingienne ne vient pas de Juda, mais de Samson le Danite et de Nemrod.
Dans la légende, Samson tua un lion à mains nues, des abeilles commencèrent à fabriquer du miel dans le cadavre.
Pour les anciens, l’abeille est avant tout un emblème de résurrection et d’immortalité, ainsi qu’un symbole solaire.
Le nom de « Nemrod » vient du mot « Marad » qui signifie « celui qui s’est rebellé ».
Il peut signifier également « Celui qui a vaincu le lion » en partant de la signification de Nimr, « lion » et Rad, « dompter » et aussi « L’ABEILLE » qui protège le Pharaon et le Roi !
Éliphas Lévis, dans son « Histoire de la Magie », nous dit que Nemrod « fut couronné de rayons, et son corps était entouré d’un aura qui rayonnait l’or comme le soleil. On se prosternait lorsqu’il passait, et l’insensé qui oserait sans ordre franchir le seuil de son palais, était immédiatement frappé de mort sans massue et sans glaive, mais par une main invisible, tué par la foudre, terrassé par le feu du ciel ». Lévis ajoute que les Chaldéens étaient des initiés de la lumière de l’énergie psychique et pouvaient envoyer à leur gré le trouble ou la paix dans les âmes. Il leur était donc possible de provoquer des maladies par la science occulte qu’ils possédèrent. Ce qui est doublement intéressant, est que Nemrod (Gen.10:8-12) fut considéré dans l’antiquité, comme l’incarnation de Satan, nous dit Hislop ; il fut déifié comme le dieu Soleil et déclaré le père des dieux mythologiques, d’où une des significations du mot « Babel » qui veut dire « la porte des dieux ».
On comprend mieux pourquoi désormais des élites à l’instar de Rothschild se disent descendant en ligne directe de Nemrod.
À suivre…
Par : Karim Zentici
[1] Nous avons un exemple du pouvoir occulte de la goétie avec le tristement célèbre John Dee qui, comme son nom ne l’indique pas, est le véritable agent 007, le sorcier kabbaliste de la couronne d’Angleterre. L’histoire raconte qu’il signait ses courriers adressés à la reine Élisabeth 1er avec le signe occulte : 007. Avec la complicité des êtres du monde parallèle, il hissa l’Angleterre au premier rang des thalasso-Empires qui se disputaient le monde.
[2] Malheureusement, un grand nombre d’informations a été supprimé par l’église catholique, qui exerce un monopole sur l’enseignement. Généralement, la notion de dynastie évoque une race qui succède à une autre, mais rien de comparable pour les Mérovingiens qui semblent avoir régné de tout temps sur les Francs. Mérovée (mère ou mer) donna son nom à la dynastie.