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13 avril 2019 6 13 /04 /avril /2019 10:39

Dialogue avec Karim Hanifi II4/6 

 

L’annonce de Mohammed dans la Bible

 

Le chapitre de l’annonce de Mohammed dans la Bible se greffe naturellement à celui de sa conservation.[1] Nous venons de démontrer sous plusieurs aspects que la Bible fut falsifiée, et cela aura des conséquences, et non des moindres sur les prophéties bibliques. Le Saint Coran dit explicitement que l’Élu fut annoncé dans les anciennes Écritures. Voici le Verset de référence sur le sujet : [À ceux qui suivent le Messager, le Prophète illettré, dont ils connaissent la description à travers leurs écrits, la Thora et l’Évangile. Celui-là même qui leur ordonne le bien et qui leur interdit le mal ; lui qui leur déclare licite tout ce qui est pur et illicite tout ce qui est impure ; lui qui les délivre des fardeaux et des lourds carcans qui pesaient sur eux. Qui croit en lui, le soutient, et le défend, et qui a pour guide la lumière qui accompagne sa mission, gagnera le succès].[2] Bien sûr, ce Verset ne pose pas problème à la vision de Karim, puisqu’il est biblo-compatible. Il nous explique, en effet, que Mohammed décèle toutes les caractéristiques de la prophétie qui sont recensés dans les Écrits anciens, notamment l’Alliance faite avec la descendance d’Ismaël. En revanche, le Verset suivant coince avec son raisonnement ! C’est pourquoi, il aura éventuellement recours à une interprétation qui le fasse aller dans le sens de sa vision. Il s’agit de la Parole de Dieu : [Et lorsque Jésus fils de Marie fit savoir à son peuple : enfants d’Israël, Allah m’envoya vers vous en tant que Messager pour corroborer la Thora qui fut révélée avant moi, et pour annoncer la venue prochaine d’un Messager du nom d’Ahmed, mais dès lors qu’il leur présenta des preuves éclatantes, ils crièrent à la magie manifeste !].[3]

 

Pour sortir de cet imbroglio, Karim nous dira qu’Ahmed, loin d’être un nom propre, n’est qu’un superlatif pour vanter les vertus de « celui qui est très louangé » ou « le plus digne de louange » ; sauf que construite de cette façon, la phrase n’est pas correcte, puisque après le vocable « ism » (nom ndt.), il y a forcément un nom propre, surtout qu’il n’y a aucun mal à ce que ce nom propre soit un superlatif qui exprime des louanges à foison ; l’un n’empêche pas l’autre. Et si ce n’est pas ce que dit Karim, alors qu’il nous montre le passage de la Thora non falsifiée où Ahmed est explicitement énoncé. Question ô combien embarrassante, et cela d’autant plus qu’il prend un malin plaisir à décrier l’honorable Deedat qui aurait des graves lacunes en hébreux sous prétexte qu’il voit dans le fameux passage des Cantiques le nom de Mohammed à la syllabe près.

 

Je veux bien que notre prédicateur indien se trompe, mais non seulement cela ne justifie pas de prendre les musulmans de haut, mais cela ne résout encore moins la problématique soulevée par le Verset cité plus-haut. Alors, si l’érudit Karim est aussi malin qu’il en a l’air, qu’il nous montre le passage du Livre où Ahmed est explicitement cité ! De deux choses l’une, soit il reconnait que les deux Testaments sont falsifiées soit il nous montre le passage en question. Il n’a pas d’autre choix.

D’ailleurs, c’est exactement ce que laisse entendre le Coran : [Ceux à qui Nous avons accordé le Livre connaissent le Prophète aussi bien que leurs propres fils, sauf que plusieurs d’entre eux ont dissimilé la vérité en toute âme et conscience].[4] 

 

Ce Verset soulève deux cruciales questions qui mettent à mal la pensée de Karim. 1°) Le nom de Mohammed est caché dans la Bible. Et là, plusieurs hypothèses se dessinent : soit il existe dans certaines versions non dans d’autres. C’est ce qui expliquerait pourquoi certains érudits musulmans le citent où moment où d’autres avancent formellement qu’il est absent des versions falsifiées. Et pour les versions où sa mention existe encore, il reste à désigner les endroits en question, ce qui relève du pur effort d’interprétation dans le sens où le choix d’un savant peut effectivement être erroné. Nul n’échappe à l’erreur ! L’erreur est d’autant plus probable que les scribes juifs et chrétiens se sont évertués à brouiller les pistes, surtout depuis l’avènement de l’Islam. Il existe donc des versions falsifiées pré et post islamiques, comme il existe des versions conservées même après l’avènement de l’Islam.

Soit, les versions vulgarisées sont toutes falsifiées, c’est ce qui expliquerait les erreurs des savants qui pensent que sa mention existe encore. Cela n’exclut pas la présence de versions originales cachées du public où le nom de Mohammed serait explicitement inscrit. Dans tous les cas, l’obscur brouillard qui entoure cette affaire démontre en lui-même que la Bible est falsifiée. Ainsi, quand Karim s’évertue à tourner en ridicule les musulmans qui voient partout l’annonce de Mohammed, il se réfute lui-même puisqu’il démontre par ses mains que la Bible est falsifiée, étonnant non, comme dirait Pierre Desproges ?

 

2°) Les Juifs connaissaient le Prophète aussi bien que leurs propres fils. Cette description éloquente va au-delà des simples caractéristiques générales de la prophétie, et de l’alliance nouée avec la progéniture ismaélite. À la suite de la persécution sous Titus, la diaspora mena plusieurs tribus juives à l’intérieur de la Péninsule arabique. Certaines d’entre elles s’arrêtèrent à Tayma, et d’autres s’enfoncèrent plus vers le sud pour s’installer à  Yathrib ou Lathrippa (nom recensé par le géographe Ptolémée) qui présentait un signalement identique, soit un réseau d’oasis perdues au milieu du désert, et parsemées d’hameaux flanqués de deux grosses plaques volcaniques. Lors de l’entrée triomphante du fugitif à Médine, les Juifs de la ville allèrent à sa rencontre, à l’instar de  Huyay ibn el Akhtab, Le chef de la tribu banû Nadhîr, et père de la future matriarche Safiya chez qui il avait détecté un potentiel hors-norme, et qui lui prévoyait un grand destin. Il la cajolait jalousement, et parfois même, au mépris de ses autres enfants. Il l’emmenait partout avec lui, mais ce jour-là, il lui réserva une sortie inhabituelle. Il avait décidé avec son frère d’aller aux nouvelles de ce supposé sauveur dont se targuaient ses voisins arabes, cette bande de sauvages et de rustres illettrés que son groupe avait empêtrés dans des dettes usuraires depuis plusieurs générations. Ce fut la peur au ventre que tout au long du trajet, il ruminait ses pensées, en négligeant totalement sa fille préférée. Il ne lui adressa pas un mot ni même un regard. Lorsque le quidam pour lequel il s’était déplacé tomba sous leur champ de vision, Huyay se pencha vers son frère pour l’interroger : « Est-ce bien lui ?

  • C’est bien lui, par Dieu, déplora-t-il.
  • Tu le reconnais [tel que représenté dans les Écritures ndt.], tu en es bien sûr ?
  • Absolument.
  • Que comptes-tu faire à son égard ?
  • Par Dieu, je lui livrerais un âpre combat jusqu’à mon dernier souffle ! »

 Le chemin du retour fut marqué par l’abattement qui se lisait sur le visage de ces deux malheureux, qui, le buste avachi, trainaient le pas. Complètement effondrés, rien ne pouvait les consoler, pas même les efforts de la fillette pour leur mettre du baume au cœur.

Un Juif, qui s’était invité dans les rangs, éleva sa voix au-dessus du cortège : « Il est là l’homme qui fut annoncé dans les Écritures, s’enthousiasma-t-il, et qui vous apportera gloire et triomphe ! » Bien sûr, Karim, qui, nous l’avons vu, bannit des pans entiers du patrimoine islamique, ne va pas se gêner pour balayer d’un revers de la main, toutes les narrations qui décrivent l’évènement sous prétexte qu’elles ne répondent pas à 100 % aux critères de fiabilité, alors qu’elles sont déjà plus fiables que les meilleures versions de la Thora elle-même. L’opération amnésie collective opérée par notre érudit heurtera un obstacle de taille avec le Verset imparable : (Ils eurent entre les mains un Livre venu du ciel corroborant leurs propres Écritures sur lesquelles ils se basaient pour invoquer le sauveur qui leur accorderait le triomphe sur les païens. Pourtant, dès son avènement, ils dénièrent le reconnaitre et renièrent son ministère, maudit soient ces infidèles !)[5] Les colonies israélites de Yathrib qui s’étaient implantées avant ses voisins arabes promettaient à qui voulait l’entendre qu’un futur sauveur viendra les délivrer pour les faire triompher de leurs ennemis. D’ailleurs, les Aws et les Khazraj s’en souvinrent le jour où, à l’occasion du pèlerinage, ils rencontrèrent l’Élu dans le défilé de Mina. L’année 620 apr. J.-C. vit naitre une nouvelle alliance. Alors que l’Élu profitait de l’obscurité de la nuit pour apporter la bonne nouvelle aux pèlerins, accompagné de son inséparable ami Abou Bakr, il tomba fortuitement sur six membres du clan Khazraj qui, suspendus à ses lèvres, furent séduits par les avantages qu’ils tireraient à le prendre sous leur aile : « Voici l’homme, s’enthousiasma l’un d’entre eux, au sujet duquel nos compatriotes juifs brandissaient contre vous la menace de vous terrasser sous son commandement ! Ne laissez pas échapper cette chance de déjouer leur ambition en reprenant cette prophétie à votre avantage. »

 

Le dépeçage en bonne et due forme du patrimoine islamique jugé non biblo-compatible continue avec le moine Bahira que nous devrions effacer de nos mémoires. Comment notre spécialiste boucher aborde-t-il la conversion du Négus Abyssin qui certes ne constitue pas un obstacle pour démontrer que la Bible n’est pas falsifiée ? Ni d’ailleurs l’anecdote qui opposa Abou Sofiane à l’Empereur byzantin Héraclius, quoi que…  Que nous prépare sa hache avec Salman le Perse dont les pérégrinations le menèrent à la future Médine pour y rencontrer le Messie tant attendu ? Je ne parle pas de la conversion des rabbins de la ville, à l’image de ‘Abd Allah ibn Sallâm, qui, en réalité ne pose pas de problème pour sa version de faits, mais quand même…

 

Notons enfin pour clore ce chapitre que le nouveau chef de Médine fit preuve d’une tolérance extrême envers ses compatriotes hébreux incrédules dont il savait pertinemment qu’ils cachaient sa prophétie. Qu’on en juge : [Mais, dès lors qu’ils trahirent leur engagements, nous les maudîmes, et rendîmes leur cœur dur comme de la pierre, eux qui s’employaient à altérer le sens des Écritures, et qui oublièrent en partie la Loi qui leur fut dictée ; chaque jour te dévoile davantage leurs perfidies auxquelles ils n’ont toujours pas renoncé à l’exception d’une partie infime parmi eux ; mais, fais montre d’indulgence envers eux et ne leur tiens pas rigueur de leurs exactions, car Allah aime les bienfaiteurs][6] 

 

La « faible réponse » du pauvre ibn Taïmiya à la « juste réponse » de l’érudit Karim  Hanifi

 

Karim Hanifi me reproche d'être obnubilé par ibn Taïmiya, il a peut-être raison, mais en tout cas, ce ne sera jamais pire que d'être obnubilé par la Thora !

 

Voir : http://mizab.over-blog.com/article-ibn-taimiya-et-la-bible-111015014.html

http://mizab.over-blog.com/2019/03/ibn-taimiya-et-la-falsification-de-la-bible-comment-pouvez-vous-dire-nous-sommes-sages-la-loi-de-l-eternel-est-avec-nous-c-est-bien

 

Bien sûr, étant donné que la position d’ibn Taïmiya sur les annonces de Mohammed dans la Bible constitue un obstacle à la théorie biblo-compatible de Karim visant à démontrer que la Thora et l’Évangile n’ont pas été falsifiée, elle ne peut être que « faible ». Mieux, le doyen damascène, un peu comme le pauvre Ahmed Deedat, tout comme vraisemblablement l’auteur d’Izhar el Haqq, avait, aux yeux de notre sommité, un piètre niveau en langue hébreu, contrairement à notre grandiloquente mastodonte. Mieux, le Maitre hanbalite, tout comme son élève ibn Kathir, nous le verrons dans la prochaine partie, ne se serait même pas rendu compte qu’il utilisait des versions de la Bible fabriquées par les musulmans pour corroborer ses thèses. Décidemment ces musulmans sont impayables ! Ces affabulateurs avaient déjà fait le coup avec l’Évangile de Barnabé.

 

Or, il y a 700 ans, comme s’il avait anticipé le zèle de notre éminentissime boucher, ibn Taïmiya démontre en quoi la théorie hanifite est plus que tirée par les cheveux, et loin d’être une approche scientifique objective. Son analyse est toujours d’actualité, alors qu’il n’avait pas accès aux dernières recherches archéologiques (sic).

 

Ce dernier nous dit en substance que selon l’avis majoritaire des savants musulmans, la Bible fut falsifiée tant au niveau de la lettre que de l’esprit, bien que le texte original fut essentiellement conservé ; sauf qu’il est impossible d’identifier avec certitude quels termes exacts relèvent de la Parole de Dieu. Il n’est donc pas pertinent d’opposer tel terme en particulier au Coran dont la transmission orale est communément acquise, contrairement à la Thora et à l’Évangile dont la chaine narrative s’est perdue dans les méandres de l’Histoire. La chaine de transmission de l’Ancien Testament a été interrompue avec le sac de Jérusalem sous Nabuchodonosor II. Il aurait été restauré par Esdras (Ezra) après le retour de l’exil à Babylone au 5ième siècle av.-J-C. Certains Juifs l’assimilent à un prophète. Quoi qu’il en soit, au même titre que n’importe quelle reproduction, il est tout à fait concevable que des erreurs de retranscription, aussi infimes soient-elles, se soient insérées au cours de la réécriture du Pentateuque.

 

En revanche, les choses sont plus compliquées avec l’Évangile. Les chrétiens admettent que son écriture n’est pas l’œuvre de Jésus. Celui-ci ne l’a même pas dicté aux différents copistes, étant donné que sa compilation eut lieu bien après son élévation au ciel sous la dictée des deux apôtres Mathieu et Jean. Néanmoins, les éléments de sa chaine narrative sont trop peu nombreux pour l’ériger au statut de « communément transmis » qui lui accorderait un label d’authenticité. Les deux copistes Marc et Luc, qui ne comptaient pas parmi les apôtres, ont relevé quelques bribes biographiques de leur maitre, notamment certains éléments de son discours, mais sans n’être exhaustifs. Dans de telles conditions, le risque d’erreur prend d’énormes proportions, surtout si l’on sait que les témoins oculaires de la crucifixion ont confondu le supplicié avec le Christ. Même les Apôtres ne sont pas infaillibles, au même titre que n’importe quel homme pieux qu’il soit faiseur de miracles ou non. Les Compagnons eux-mêmes qui, aux yeux des musulmans en tout cas, sont supérieurs aux Apôtres, ne sont pas à l’abri de l’erreur. Quoi qu’il en soit, seuls les prophètes jouissent de l’infaillibilité.

 

Ainsi, l’AT et le NT pâtissent d’une faible transmission narrative, à l’inverse du Coran, tout comme la loi canonique en vigueur chez les chrétiens qui emprunte peu ou prou ses enseignements à l’Évangile de Jésus. Par ailleurs, contre toute attente, les musulmans ne prétendent pas que toutes les copies des Écritures anciennes furent indistinctement falsifiées après l’avènement de l’Islam. Au mieux, selon l’avis majoritaire, nuance, la falsification eut lieu partiellement sur certaines versions depuis cette période-là, mais elle existait déjà avant, aux yeux d’une partie d’entre eux. Pour d’autres, les deux hypothèses sont possibles, mais personne n’a jamais dit qu’il n’existait plus une version authentique sur la surface de la terre. Or, tout le monde s’accorde, juifs et chrétiens y compris, que l’esprit et l’exégèse furent abondamment altérés.

 

Les avis sont divergeant concernant la lettre. Un groupe d’érudits rejoint les adeptes des Écritures disant que la lettre est restée intacte. La majorité, toutefois, s’entendent à dire avec certaines références juives et chrétiennes que l’altération a touché partiellement la lettre. Cette opinion est répandue dans les deux camps : musulman et non musulman. L’altération aurait donc gagné les deux Livres, voire de façon très prononcée, et serait même plus prononcée pour l’Évangile.

 

Certains poussent tellement le raisonnement qu’ils autorisent de nettoyer ses besoins avec des pages de la Bible pour dire qu’elle a perdu toute sacralité. Bien sûr, ils vont trop loin. L’opinion la plus vraisemblable est celle selon laquelle elle est essentiellement conservée. Notons toutefois que l’Évangile semble plus endommagé que la Thora, si tant est que nombreux sont les observateurs qui réfutent l’idée que les quatre Évangiles canoniques renferment la Parole de Dieu, hormis quelques rares passages, et ils ne représenteraient nullement Le vrai Évangile.

 

La Thora, pour sa part, renferme une part de la Révélation divine, bien qu’elle ne soit pas non plus à l’abri des manipulations fraudeuses, révèle le saint Coran : [Toi, Prophète, ne sois pas affligé à cause de ces gens qui se précipitent dans la mécréance tant dans les rangs de ceux qui affichent du bout des lèvres leur adhésion à la foi, à l’inverse de leur cœur qui reste incrédule, que dans les rangs des hébreux qui, friands de mensonges, prêtent une oreille complaisante au discours de leurs coreligionnaires qui ne viennent jamais écouter le tiens ; ceux-là même qui s’emploient à altérer partiellement le sens des Écritures et qui prônent de piocher dans tes enseignements qui les arrangent, et de se méfier du reste. Il ne t’appartient pas de sauver ces cœurs dans lesquels Allah a jeté le désarroi et qu’Il refuse de purifier. Ces gens-là sont voués à l’opprobre ici-bas, et un châtiment terrible les attend dans l’autre monde][7] ; [Comme si la Thora qui les abreuve de la Loi du ciel ne leur suffisait pas, ils sollicitent ta sentence qu’ils récusent à partir du moment où elle ne leur convient pas ; ces gens-là n’ont rien de commun avec les croyants • Nous révélâmes la Thora de laquelle émanent droiture et lumière, et à partir de laquelle les prophètes dévoués à Dieu, font régner la justice sur les juifs, au même titre que les rabbins et les docteurs de la Loi, ces dignes témoins et gardiens de leur héritage, et c’est Moi, et non les hommes que vous devez craindre ; alors, ne troquez pas mes commandements contre un vil prix, car qui n’applique pas la Loi révélée par Dieu est un infidèle].[8]

 

À suivre…

                     

Par : Karim Zentici

http://mizab.over-blog.com/

 

 

[1] Pour les annonces dans la Bible, voir cet ouvrage qui reprend en partie les travaux d’ibn Taïmiya, et que, selon ses dires, Karim compte réfuter : https://editionslheritageprophetique.wordpress.com/2019/02/03/84-annonces-de-mouhammad-sallallahou-alayhi-wa-sallam-dans-la-bible-salih-al-jafari/?fbclid=IwAR3h5ZUeqY2rFXoldCVvKfmJMpfuKdJcyvFAxreDtX6UhhJvSUNjRpodYcU

[2] Les murailles ; 157

[3] Les rangs ; 6

[4] La vache ; 146

[5] La vache ; 89

[6] Le repas céleste ; 13

[7] Le Repas céleste ; 41

[8] Le Repas céleste ; 43-44

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commentaires

R
Super article, j’ai jeté un coup d’œil sur chacun des blogs, des belles découvertes! C’est intéressant.
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R
Merci beaucoup pour cet article très complet.
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