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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 16:49

Desert-Oasis-Libya

 

 

La condamnation publique du gouverneur

(Partie 4)

 

Les annales des anciens qui vérifient ce principe

 

Selon Sa’îd ibn Jubaïr, je me suis adressé à ibn ‘Abbâs en ces termes : « Est-ce que je dois faire la morale (ordonner le bien et interdire le mal) à mon émir ?

-           Si tu as peur qu’il te tue, alors ne cherche pas à le réprimander, mais si tu dois absolument le faire, alors veille à ce que ce soit entre toi et lui. »

Selon une version : « Ne critique pas ton émir. »[1]

Ce même ibn ‘Abbâs réprimanda un certain Abû Hamza, qui, ayant appris qu’el Hajjâj avait brûlé la Ka’ba de ses catapultes, l’avait insulté sous l’effet de la colère. Voici quelle fut la réponse : « Ne viens pas en aide à Satan. »[2]    

 

Quand ‘Abd Allah ibn ‘Amr, apprit que certains habitants d’Iraq maudissaient leurs émirs et les taxaient d’égarés, il s’écria : « ceux-là, maudit soient-ils par Allah, ses anges et tous les hommes ! »[3] Ensuite, il rapporta le hadîth du Bédouin (vraisemblablement dhû el Khuwaïsira ndt.) qui condamne les kharijites.

 

D’après Ahmed, Sa’îd ibn Juhmân se plaignit des émirs à ‘Abd Allah ibn Abî Awfâ qui le pinça violemment pour le faire taire, avant de s’expliquer : « … Si le sultan t’écoute, alors va le voir chez lui, et mets-le au courant de ce que tu sais ; s’il accepte de ta part, c’est tant mieux, sinon, laisse-le. »[4]

 

Ishâq : j’ai demandé à Abû ‘Abd Allah : « Quand est-ce que la morale devient obligatoire ?

-          Nous ne sommes pas à cette époque ; si tu peux changer les choses verbalement, c’est tant mieux, sinon, faute de pouvoir le faire, contente-toi de condamner avec le cœur, en sachant que c’est le degré de foi le plus faible. »[5]

 

Il m’a dit également : « Ne t’expose pas au Sultan, car son épée est tranchante. »[6] Je lui demandais également : « Quand est-ce que la morale devient obligatoire pour moi ?

-          Tant que tu ne crains ni fouet ni bâton. »[7]

 

Anas ibn Mâlik : « Les grands parmi les Compagnons du Messager d’Allah interdisaient d’insulter les émirs. »[8] Selon une version : « N’insultez pas vos émirs et ne les critiquez pas ! Craignez Allah et patientez, car l’heure est proche. » Une autre version précise : « Ne les trahissez pas. »

 

Sa’d ibn Hudhaïfa : quand on souleva à Hudhaïfa les défauts de Sa’îd ibn el ‘Âs, il répondit : « Je ne sais pas laquelle des deux choses vous voulez en me racontant cela : me rapporter les défauts d’un sultan qui n’est pas le votre, ou bien dissiper cette fitna, qui pourtant fut envoyée par Allah. »[9]

 

Abû Dardâ (t) : « Attention à ne pas maudire vos émirs, car les maudire rase la religion et les haïr rend stérile.

-          Abû Dardâ, s’exclama-t-on,que devons-nous faire si nous voyons chez eux des choses qui nous déplaisent ?

-          Patientez, car si Allah voit cela chez eux, Il vous soulagera d’eux par la mort. »[10]   

 

Ailleurs, il dit : « Qu’allez-vous devenir si vous maudissez ouvertement vos émirs, ou si vous les maudissez en cachette ? Dès lors, vous périrez ! »[11]

 

Abû Mijlis : « Insulter l’Imam rase tout, je ne parle pas des cheveux, mais de la religion. »[12]

 

Abû Idrîs el Khawlânî : « Attention à ne pas critiquer les émirs, car à même de tout raser, je parle de la religion, non des cheveux. Ceux qui les critiquent sont les perdants et les pires des hommes. »[13]

 

Sous l’ère d’Uthmân, un homme voulait entrainer ‘Abd Allah ibn ‘Omar à critiquer le troisième khalife. Il se lança dans un long discours bien qu’il manquait d’éloquence. Ibn ‘Omar attendit qu’il finisse pour lui fustiger au nez : « Quand le Messager d’Allah était encore vivant, nous disions qu’Abû Bakr était le meilleur élément de la communauté après lui, puis ‘Omar, puis ‘Uthmân.

Par Allah ! À ma connaissance, ‘Uthmân n’a tué impunément personne et n’a jamais commis un grand péché. Mais le problème, c’est l’argent ! Quand il vous en donne, vous êtes contents, mais quand il en donne à ses proches, vous faites la tête. Vous voulez devenir comme les Perses et les Romains qui passent tous leurs rois au fil de l’épée. »

Son interlocuteur se mit à verser quatre larmes sur son visage, et lança dans son regret : « Ô Allah ! Nous ne voulons pas cela ! »[14]

 

Zâida ibn Qudâma : j’ai dit à el Mansûr ibn el Mu’tamir : « Les jours de jeûne, je peux prendre à partie les émirs ?

-          Non !

-          Et je peux prendre à partie ceux qui parlent sur Abû Bakr et ‘Omar ?

-          Oui ! »[15]  

 

Ibn el Mubârak : « En dénigrant les savants on perd son au-delà, en dénigrant les émirs, on perd sa vie d’ici-bas, et en dénigrant les frères, on perd sa bonne réputation. »[16]

 

Sahl e-Tusturî a dit : « Les gens vivront bien tant qu’ils encenseront les sultans et les savants. En faisant cela, Allah leur améliorera leur vie religieuse et leur vie matérielle. Cependant, en les dénigrant, ils mettront à mal leur vie présente et leur vie future. »[17]

 

Ailleurs, il dit : « Cette nation se divise en soixante-treize sectes ; soixante-douze d’entre elles sont vouées à la perdition, toutes haïssent le sultan ; la secte sauvée est la seule qui est avec le sultan. »[18]

 

Ibn Sirîn, qui entendit un homme insulter el Hajjâj, s’écria : « Hé toi, va doucement ! Quand tu seras dans l’autre monde, le plus petit péché que tu fais aujourd’hui sera, à tes yeux, plus grand que le pire des crimes commis par el Hajjâj. Sache qu’Allah est un juge Sage et Juste, s’Il prend quelque chose d’el Hajjâj pour le donner à sa victime, el Hajjâj la reprendra à celui qui a été injuste envers lui. Ne t’occupe donc pas à insulter qui que ce soit. »[19]

 

‘Omar ibn ‘Abd el ‘Azîz fit parvenir au gouverneur de Kûfa un courrier dans lequel il le réprimande en ces termes : « J’ai appris que certains de ton entourage insultent el Hajjâj, alors interdis-leur, car j’ai appris également que la victime invoque contre son oppresseur, en devenant à son tour oppresseur, et son oppresseur sa victime. »[20]

 

Riyâh ibn ‘Abîda : ‘Omar ibn ‘Abd el ‘Azîz évoqua el Hajjâj un jour que j’étais assis chez lui. Je ne me suis pas retenu de l’accabler d’injures. « Va doucement, Riyâh, me reprit-il ! J’ai appris qu’un homme peut certes être l’auteur d’une injustice, mais qu’il rend ses comptes à sa victime qui n’arrête pas de l’injurier et de le dénigrer à tel point que c’est sa victime qui lui devra des comptes. »[21]  

 

Qatâda : ‘Omar ibn ‘Abd el ‘Azîz prit à partie un homme qui insulta el Hajjâj ibn Yûsaf en sa présence : « A-t-il commis une injustice envers toi, s’enquit-il ?

-          Oui, il m’a fait telle et telle chose.

-          Alors pourquoi ne mets-tu pas cette injustice de côté pour te faire pleinement rembourser le Jour de la résurrection ? »[22]

 

Zuburqân : je me suis mis à insulter el Hajjâj et à blâmer ses défauts alors que je me trouvais chez Abû Wâil : « Ne l’insulte pas, me rectifia-t-il, car tu ne sais pas s’il a ou non invoquer : Ô Allah, pardonne-moi, et qu’il fut exaucé ! »[23]

 

On a l’émir qu’on mérite

 

Allah (I) révèle : [Dis : Ô Allah ! Roi du Royaume ! Tu donnes la royauté à qui tu veux et Tu l’enlèves à qui Tu veux ; Tu élèves qui Tu veux et Tu rabaisses qui Tu veux ; le bien est entre Tes Mains, Toi, pour qui rien n’est impossible][24] ; [C’est ainsi que Nous faisons régner les injustes les uns sur les autres à cause des actes qu’ils avaient avancés][25] ; [Allah ne change pas un peuple tant qu’ils ne se changent pas eux-mêmes, et s’Il veut du mal à un peuple, rien de peut l’en empêcher ; ils n’ont certes aucun secoureur en dehors de Lui][26] ; [Si les gens des cités avaient cru et s’ils avaient été pieux, Nous leur aurions comblé des bénédictions du ciel et de la terre, mais ils ont voulu démentir Nos Signes ; nous les avons alors frappés pour ce qu’ils œuvraient][27] ;[S’ils avaient appliqué la Thora et l’Évangile et ce que Nous leur avons révélé, ils auraient trouvé leur nourriture au-dessus d’eux et dessous leurs pieds][28] ; [Chacun, Nous l’avons frappé en raison de ses péchés],[29] [Tout malheur qui vous survient est le fruit de vos actes bien que, pour beaucoup d’entre eux, Il n’en tienne pas compte][30] ; [Et lorsque vous furent atteint par un malheur, vous-mêmes aviez auparavant infligé le double aux païens, vous dites : « Comment cela a-t-il pu nous arriver ?» Dis : Cela est venu de vous-mêmes][31] ; [Tout bien qui t’atteint provient d’Allah et tout mal qui t’atteint provient de toi][32] ; [S’il y en a parmi vous qui battirent retraite le jour où les deux armées s’affrontèrent, c’est que Satan les fit trébucher à cause de certains de leurs actes][33] ; [ou qu’Il les fasse chavirer à cause de leurs actes bien que, pour beaucoup d’entre eux, Il n’en tienne pas rigueur][34] ; [Si un malheur leur survient à cause de ce que leurs mains ont avancé… l’homme est vraiment ingrat].[35]

 

Selon ‘Abd Allah ibn ‘Omar, un jour, le Messager d’Allah (r) s’est présenté à nous pour nous déclarer : « Vous, les muhâjirîns (les émigrés mecquois ndt.) ! Il y a cinq malheurs qui peuvent vous atteindre, et j’implore Allah de vous en préserver : toute communauté où la perversion fait son apparition et où elle se répand ouvertement, celle-ci est frappée par la peste et par les maux qui furent inconnus chez ses ancêtres[36] ; quand elle diminue le poids et la mesure, elle est frappée par la pénurie, la misère extrême et la tyrannie des sultans ; quand elle ne verse pas la zakât, elle se voit interdire la pluie ; si ce n’était la compassion envers les animaux, elle ne la recevrait plus ; quand elle ne respecte pas le pacte d’Allah et celui de Son Messager, elle est envahie par un envahisseur étranger qui s’empare d’une partie de ses richesses[37] ; quand ses chefs ne gouvernent pas d’après le Livre d’Allah et s’ils se détournent de la Révélation, Allah leur fait goûter les guerres intestines. »[38]

 

Ibn el Qaïyim a dit : « La personne au courant de la situation et des mécanismes du monde est consciente que la dégradation qui règne dans le temps, la nature, chez les animaux, et chez les hommes est provoquée par certains événements. Depuis toujours, les œuvres des fils d’Adam qui se rebellent contre les messagers d’Allah sont à l’origine de la dégradation à grande échelle qu’ils subissent ; maladie, peste, pénurie, aridité, privation ou diminution de l’abondance et des fruits de la terre sont autant de fléaux qui les frappent en chaînes. Si ton savoir est limité dans ce domaine, contente-toi alors du Verset : [La corruption s’est répandue sur la terre et la mer en raison des péchés des hommes].[39] Compare entre ce Verset et la situation dans le monde, tu te rendras compte pour quelle raison les fruits, les récoltes et les animaux subissent-ils constamment des fléaux ! Comment ces fléaux sont-ils à l’origine d’autres fléaux qui s’enchaînent les uns à la suite des autres ?

 

Toutes les fois que les hommes font régner la perversité et l’injustice, Leur Seigneur leur envoie des fléaux qui s’abattent sur leur nourriture, les fruits, le temps, l’eau, leur personne et leur santé. Toute sorte de calamités qui incarnent leurs actes. Auparavant, les graines de blé étaient beaucoup plus grosses qu’aujourd’hui. Selon l’Imam Ahmed, avec sa propre chaîne narrative, on trouva dans les réserves d’un émir de la dynastie omeyyade, un sac de blé dont les graines étaient aussi grosses qu’un noyau de datte et sur lequel était inscrit : ces graines poussaient à l’époque où régnait la justice. L’Imam Ahmed recense cette annale dans son recueil el Musnad à la suite d’un hadîth qu’il rapporte.[40]

 

La plupart des maladies et des grands fléaux qui règnent aujourd’hui sont les traces des punitions célestes qui touchèrent les civilisations anciennes. Ils sont aujourd’hui à l’affut de ceux qui les imitent dans la façon de gouverner et de faire régner la loi et la justice. Le Prophète (r) fait allusion à ce phénomène en parlant de la peste au sujet de laquelle il déclare : « Elle est la trace de l’infamie ou de la punition qui fut envoyée aux enfants d’Israël. »[41] En outre, Allah fit s’abattre un vent foudroyant contre un peuple pendant sept nuits et huit jours. Désormais, la trace de ce vent ou d’autres vents de ce genre nous rappellent cet évènement et nous servent de leçon.

 

Allah (I) a fait que les œuvres des pieux et des pervers se répercutent inévitablement sur le monde. Ceux qui se privent de faire le bien, l’aumône, et de verset la zakât sont privés de la pluie et sont éprouvés par la pénurie et la sécheresse. Les peuples où les miséreux sont traités injustement, qui trichent dans le poids et la mesure, et où le fort s’acharne contre le faible, ils sont éprouvés par des tyrans qui n’ont aucune pitié envers leurs sujets et qui ne font pas profiter des largesses qu’on leur réclame. En fait, ils incarnent les actes de leurs sujets qui se manifestent dans leur tyrannie. D’autres fois, ce sont les maladies collectives qui incarnent leurs actes, ou encore les peurs et les douleurs qui tracassent leur esprit en permanence. Ils peuvent également être privés des bénédictions du ciel et de la terre. Parfois, ils sont harcelés par les démons qui les entrainent droit vers la punition céleste, afin que se vérifie sur eux le Décret divin, et que chacun soit guidé vers son destin.

 

L’homme sensé promène son regard à travers tous les coins de la terre pour vérifier cela. Il peut voir ainsi les lieux où la justice et la sagesse d’Allah se sont manifestées. Dès lors, il se rend compte que seuls les prophètes et leurs adeptes suivent le chemin de la délivrance. Quant au reste de l’humanité, ils sont voués à la ruine et se dirigent vers la demeure de la perdition. Allah atteint toujours ce qu’Il veut, personne ne peut contester Son Jugement et s’opposer à Sa Volonté. Certes, Il est Celui qui concède la réussite ! »[42]

 

Mu’âdh ibn Jabar : « L’émir vient de l’Ordre d’Allah, alors le critiquer revient à critiquer l’ordre d’Allah. » Selon une version : « Que penses-tu, ô fils d’Adam, du fait de critiquer l’ordre d’Allah ? »[43]

 

Yûnas ibn ‘Ubaïd : « En trente ans que j’ai fréquenté el Hasan el Basrî, je ne l’ai jamais entendu dire que tel ou tel émir fut nommé ou destitué, ni que les prix ont augmenté ou baissé, ni que la chaleur est torride. Les seules paroles qu’il avait sur la bouche est que la mort frappe à la porte de chacun d’entre vous. »[44]

 

Abû Ishâq e-Subaï’î : « Un peuple qui insulte son émir se prive tout seul de ses bienfaits. »[45]

 

‘Abd e-Rahmân ibn Mahdî : « Je n’ai jamais entendu Sufiân – en parlant d’e-Thawrî – insulter aucun Sultan, malgré qu’il était dur envers eux. »[46]

 

Toujours selon ‘Abd e-Rahmân ibn Mahdî : J’ai entendu dire Sufiân : « J’invoque Allah de réformer le Sultan, mais je ne peux en dire plus que ce que je vois sur eux. »[47]

 

Dans son encyclopédie biographique, Dhahabî ne tarit pas d’éloges sur Sufiân, et souligne que les savants ne lui tenaient pas rigueur de certains « écarts » ; il flirtait notamment avec le shiisme primitif (il préférait ‘Alî à ‘Uthmân) ; il ne dérogeait pas à la fatwa des savants de sa région qui autorisaient le nabîdh (boisson enivrante à base de dates fermentées ndt.), bien qu’il aurait par la suite changé d’avis ; il prenait à partie les gouverneurs, mais sans cautionner les révoltes, etc.[48]

 

À suivre…

 

Par : Karim Zentici

http://mizab.over-blog.com/

 



[1] Rapporté par el Baïhaqî dans el jâmi’ li shu’ab el îmân (7592) avec une chaine narrative jugée « bonne ».

[2] Rapporté par el Bukhârî dans e-târikh el kabîr (2352).

[3] Rapporté par ibn Abî ‘Âsim dans e-sunna (934), et authentifié par el Albânî dans sa recension de ce dernier.

[4] Sheïkh el Albânî l’a authentifié dans zhilâl el janna (905).

[5]  Rapporté par ibn Hânî (2/175).

[6] Rapporté par el Khallâl dans el amr bi el ma’rûf (19).

[7]  Rapporté par ibn Hânî (2/175).

[8] Sheïkh el Albânî l’a rendu « potable » dans zhilâl el janna (1015).

[9] Rapporté par el Hâkim (3/503).

[10] Rapporté par ibn Abî ‘Âsim dans e-sunna (1016).

[11] Rapporté par Mu’mmar dans jâmi’ bi dhaïl musannaf ‘Abd e-Razzâq (11/344).

[12] Voir : el amwâl d’ibn Zanjawaïh (1/78).

[13] Voir : el amwâl d’ibn Zanjawaïh (1/78).

[14] Rapportée par el Khallâl dans e-sunna (546).

[15] Abû Nu’aïm dans el huliya (5/41).

[16] Ibn ‘Asâkir (32/333).

[17] Tafsîr el Qurtubî (5/260).

[18] Voir : qût el qulûb (2/242) d’abû Tâlib el Makkî.

[19] Abû Nu’aïm dans el huliya (2/271).

[20] Ansâb el ashrâf d’el Barâdharî.

[21] Rapporté par d’Abd Allah ibn el Mubârak dans e-zûd (681), et Abû Nu’aïm dans el huliya (5/277).

[22] Rapporté par Mu’mmar dans jâmi’ bi dhaïl musannaf ‘Abd e-Razzâq (11/180).

[23] Rapporté par Hannâd dans e-zûd (931).

[24] La famille d’Imrân ; 26

[25] Le bétail ; 129

[26] Le tonnerre ; 11

[27] El A’râf ; 96

[28] Le Repas Céleste ; 66

[29] L’araignée ; 40

[30] La concertation ; 30

[31] La famille de ‘Imrân ; 165

[32] Les femmes ; 79

[33] La famille de ‘Imrân ; 155

[34] La concertation ; 30

[35] La concertation ; 48

[36] Comme la syphilis et plus récemment le SIDA (N. du T.).

[37] C’est exactement ce qui se produit actuellement en Afghanistan et en Iraq ! (N. du T.).

[38] Rapporté par le recueil d’ibn Mâja (4019) ; sheïkh el Albânî l’a authentifié dans sa correction de ce dernier.

[39] Les Romains ; 41

[40] Voir : el Musnad (2/296) ; ce hadîth est également rapporté par ibn Ma’în dans son Târîkh (3897), et par ibn Abî Shaïba (35164).

[41] Rapporté par e-Tirmidhî (1065) avec une chaîne narrative authentique.

[42] Zâd el ma’âd (4/362).

[43] Rapporté par Abû ‘Amr e-Dânî dans e-sunan el wârida fî el fitan (144).

[44] Rapporté par ‘Abd el Mâlik ibn Habîb dans adâb e-nisâ (p. 187).

[45] Rapporté par Abû ‘Amr e-Dânî dans e-sunan el wârida fî el fitan (143).

[46] Rapporté par ibn Abî Hâtim dans el jarh wa e-ta’dîl (1/97).

[47] Rapporté par ibn Abî Hâtim dans el jarh wa e-ta’dîl (1/97).

[48] Siar a’lâm e-nubalâ (7/241).

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